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Une petite lyceenne gothique qui sortait de son cour d'histoire se fit agresser par des camarades en sortant de la classe .elle se fit insulter de tout
les noms imaginables: salle sorcière, vampirella, salope, on va te faire bruller sur un bucher, retourne en enfer,....Elle parti sans rien dire les larmes
aux yeux et le coeur blessé par ces moqueries mais elle ne disait rien .Le soir en rentrant chez elle ;elle raconta tout a son pere.Son pere
ne la croyer pas ;car il n'aprecié pas du tout que sa fille soit gothique. Alors deseperer elle alla voir sa mere. Sa mere la croyée et la consola de
son chagrin.C'est là que sa mere lui avoua qu'elle etait la descendante d'une famille de vampire.... L'adolescente compris alors son aversion
totale pour le jour et la nuit, un gout prononcer du sang et son angoisse des ails. sa mere lui dit alors que si elle le desiré elle pouvait effectuer
le rituelle qui lui permetré de devenir vampire a jamais. Elle compris qu'elle pourrait se vanger de ses ennemis en les mordant et les laissant mourir.
Alors elle effectua sont rituelle. Le lendemain elle n'alla pas en cour. mais le soir elle alla chez tout ses ennemis elle les morda et les laissa mourrir.
mais une semaine apres voyant tout les degats qu'elle avait fait la lyceene regretta toute cette histoire est compris que la vengence n'etait pas une
solution. Elle alla voir les parents des victimes sexcusa de tout le mal qu'elle avait fait. Elle retourna chez elle et declara à ses parent: " je vous aime ,
vous êtes les meilleurs parents qu'il existe je n'aurais pas pu rêver mieu je vous aime ". Puis elle partie dans sa chambre sculta un pieu dans un morceaux
de bois et ce le planta dans le coeur.la morale de cette histoire c'est que la vangance n'arrange rien et qu'elle fait beaucoup plus de degat autour de soit que de bien sur le moment.
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la petite maëva
surnom : yoch, pikota, ...
age : née en 1992
habite : à 2 rues de chez mwa
passion : euh, les meks ^^
musique : rock ( greenday et tokio hotel en général)
rencontre : primaire.
situation amoureuse : celib
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Si tu m'avouais, que je suis juste un jouet
Cela m'amuserait
Tu finirais par me ranger, on me collectionnerait
Aux regles du jeu je derogeraisTu pourrais meme me transformer
En princesse delavee d'un sordide conte de feesReferme et detruis
Le placard ou se tapissent nos ombres
Oublie celui qui sous le lit
Nous guette dans la penombreSous ma peau qui se cabosse
Je ressens des choses atroces
Mes cheveux de nylon s'emmelent
Autour de mon coeur mes veines craquelent
Je voulais juste trouver une issue
J'ai parfois des souhaits saugrenusDans mon coffre je t'ai attendu
Avec une robe, des etoiles, et des ciseaux pointusReferme et detruis
Le placard ou se tapissent nos ombres
Oublie celui qui sous le lit
Nous guette dans la penombreDonne-moi
Donne-moi une heure, pour detruire ton coeur
Donne-moi une heure, pour user tes heuresReferme et detruis
Le placard ou se tapissent nos ombres
Oublie celui qui sous le lit
Nous guette dans la penombreJe te broie, te casse, tant que tu vis je ne vis pas
Le monde s'enfonce
Et le vent s'engouffre, tant que je ris tu ne vis pas
Le monde s'efforce
Je te broie, te casse, tant que tu ne vis pas le monde s'enfonce
Et le vent s'engouffre, tant que tu ne ris pas le monde s'efforce
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Elle te fera perdre t'es amis,
Elle te fera perdre ta famille,
Elle te fera perdre t'es enfants,
Elle te fera perdre t'es parents,
Tu ne la vois pas mais elle est la,
Elle surveille le moindre de t'es faux pas,
Un accident et elle t'emporte loin des tiens,
Elle terrorise tout le monde,
Ce qui l'on vu ne peuvent plus en parler,
Elle l'ait à jamais,
Certains l'ont appeler, elle est venu, les a emporter
Ou leur a dit qu'elle reviendrais plus tard,
Elle t'atend...
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{Refrain: x2}
Cinglés, cinglés faut foutre le hola, sur la brèche
On est tous prêts à tirer dans le tas des
Cinglés, cinglés faut foutre le hola, sur la brèche
On est tous prêts à tirer dans le tasJ'me réveille pour une journée de plus qu'il ne sent pas dehors il fait gris enfermé seul,
Je fais les cents pas, seul chez lui, seul les gens il ne supporte pas,
Seul chez moi, le seul endroit où l'on ne me juge pas, il attend et
Attente un attentat à ses tentations diaboliquement dément
Un démon gére mes pulsions meurtrières il rêve de Lucifer et d'une orgie suicidaire
Lors de mes folies passagères brûlent en moi les flammes de l'enfer
Les flammes de l'enfer sur la brèche on est tous prêts a tirer dans le tas des{au Refrain}
La bête le ronge et petit à petit le plonge dans de sombres pensées dans le désir de m'y enfermer De plus en plus sur lui-même pour réaliser qu'en fait il n'y a plus personne que j'aime plus Personne à qui faire de la peine alors pourquoi rester zen car lors de sa dernière scéne je vais M'éclater les veines, poussé par la bêtise humaine pour une fin dans une flaque de sang suivie D'une vague de peine
{au Refrain}
Je suis pas dans le cas du squale, se calquant sur Scarface qui nous palper du "scalpa"
Scalpe au scalpel , non pas dans le cas du types lambda constatant ça go "chécou" avec un sale con, la "tèje" par le balcon, je suis sur la bréche, armé du 666, le mal je prêche,
Agnostique mon âme, allume la mèche et bah, mes pulsions prennent le dessus.
Pas besoin de psy, je suis pas psycho j'ai l'esprit hanté, le coeur glacé comme un cône miko.
Vu que l'homicide est devenu ma libido, je suis atteint de désir, morbides, le jour je suis clean,
L'air placide, mais la nuit le regard vide,
J'organise un vrai génocide.{au Refrain, x2}
(x4)
Cinglés, cinglés
Tous prêts à tirer dans le tas
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